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AstroEgypto

AstroEgypto

En attribuant à leurs édifices une orientation astronomique particulière,
en décorant le plafond de leurs monuments de représentations célestes,
en couvrant leurs parois de textes se référant à la Nature environnante,
les anciens Egyptiens nous ont livré leur vision du monde et de l'au-delà.
Aidés de logiciels appropriés, tentons de décrypter leur legs à l'humanité ...

ligne horizontale
point [Simulation numérique] « L'orientation astronomique des pyramides de l'Ancien Empire » (Culture Diff', 2023)

En attendant la publication prochaine d'un long-métrage, la problématique de l'orientation astronomique des pyramides d'Egypte se trouve résumée au moyen de trois courtes séquences vidéos constituées à partir de simulations numériques. Cette question a déjà fait l'objet d'un ouvrage paru en 1998 et d'un article publié au sein des Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°15 (2011). Voir les vidéos ...

Coucher de Soleil sur les pyramides de Gizeh en l'an -2500
Coucher héliaque de Procyon sur le plateau de Gizeh en l'an -2500
La cérémonie de l'Extension du Cordeau
point [Publication scientifique] « De l'ArchéoAstronomie égyptienne au PhotoGraphisme numérique. Décodage et encodage de l’information au moyen d’algorithmes appropriés » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°24-25, 2019)

Hommage à Alain Anselin : Notre ami Alain aimait décoder l’écriture hiéroglyphique, saisir toute les subtilités d’un texte et en restituer pleinement le contexte. Fort de ses multiples expériences, de ses innombrables rencontres, de ses fructueuses collaborations, il truffait chacune de ses publications, chacune de ses interventions, de références à celles et ceux qu’il appréciait, dont il soutenait le travail, la démarche, l’engagement. Il encodait ses articles, ses ouvrages, de toute son amitié pour celles et ceux qu’il estimait et qui l’entouraient. De décodage et d’encodage de l’information, il est précisément question au sein de cet article qui lui est dédié. Lire la suite ...

Ecrin de lumière

Ce PhotoGraphisme baptisé « Ecrin de lumière » propose une réinterprétation graphique d'un coucher de Soleil
sur la chaîne des Pyrénées. Cette réinterprétation graphique n'est pas sans rappeler le hiéroglyphe
égyptien Akhet (N27) figurant le Soleil au-dessus de l'horizon (Plus d'infos ...)

point [Publication scientifique] « Developing ArchaeoAstronomy and Space Archaeology in the XXIth century » (i-Medjat n°7, 2011)

Cet article s'inscrit dans la continuité de celui publié au sein de i-Medjat n°6. Les caractéristiques communes à l'archéologie et à l'astronomie sont en premier lieu exposées. S'ensuit le croisement de ces deux disciplines et la naissance de deux sous-disciplines d'un intérêt scientifique certain : l'archéologie spatiale et l'archéoastronomie. Enfin, de nouveaux outils de développement de ces deux thématiques de recherche sont exposés. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « ArchaeoAstronomy and Space Archaeology : a link between » (i-Medjat n°6, 2011)

Cet article constitue une brève introduction à l'archéoastronomie et à l'archéologie spatiale, deux domaines de recherche issus du croisement des connaissances et des techniques spécifiques à l'archéologie, l'histoire, l'astronomie, et au domaine spatial. Dans cet article d'introduction, j'ai choisi d'exposer les similitudes et les différences entre l'archéoastronomie et l'archéologie spatiale, ainsi que d'expliquer les raisons pour lesquelles le développement de l'archéologie spatiale, en étroite collaboration avec des archéologues, des égyptologues, des astronomes et des ingénieurs spatiaux, se situe dans la continuité du travail de recherche en archéoastronomie que j'ai entamé voici une quinzaine d'années. Un autre article, à paraître au sein de i-Medjat n°7, détaillera la manière de contribuer au développement de l'archéoastronomie et de l'archéologie spatiale au moyen des outils du XXIème siècle. Lire la suite ...

Imagine ...

L'étoile Sirius et la constellation d'Orion dans les lueurs du Soleil couchant (Plus d'infos ...)

point [Publication scientifique] « Introduction aux méthodes de l'archéoastronomie. Seconde partie : Application à la détermination de la source astronomique d'orientation de divers édifices égyptiens » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°15, 2011)

Cet article se situe dans la continuité du premier, paru dans i-Medjat n°1. Il vise à appliquer le principe de la démarche archéoastronomique défini dans l'article précédent à la résolution d'une seconde problématique égyptologique : la détermination de la source astronomique d'orientation d'édifices. Les monuments étudiés ici sont les pyramides de l'Ancien Empire d'une part, le temple d'Isis à Dendérah d'autre part. Lire la suite ...

point [Logiciel d'ArchéoAstronomie] « Logiciel de détermination de la source astronomique d'un édifice » (Culture Diff', 2005)

Depuis l'apparition de notre espèce sur Terre, l'Homme et la pierre entretiennent une relation toute particulière. Au point que la Préhistoire, débutée voici quelque trois millions d'années, se divise en périodes nommées Paléolithique, Mésolithique et Néolithique. Tant leurs dénominations respectives que leur succession soulignent l'évolution de notre rapport à la pierre - depuis la création des premiers outils lithiques jusqu'à leur polissage en passant par leur géométrisation et la microlithisation, à des fins essentiellement quotidiennes : chasse, dépeçage, défrichage, labour, récolte, construction, etc. S'ensuit logiquement l'utilisation de la pierre pour marquer la survenue d'événements impactant notablement notre vie sur Terre - telle la succession des saisons de l'année. Ainsi, la plupart des ensembles mégalithiques sont-ils orientés en direction des positions de lever ou de coucher du Soleil à certaines périodes clés de l'année : le jour du solstice d'hiver, des équinoxes de printemps, d'automne, ou du solstice d'été. Il en sera de même des monuments de pierre taillée érigés durant l'Antiquité ... à moins que, pour des raisons cultuelles ou culturelles, certaines étoiles particulièrement brillantes n'aient parfois été préférées au Soleil ? C'est à déterminer la source astronomique d'orientation de tout monument érigé depuis l'an 4713 avant notre ère que vous invite ce logiciel conçu lors de ma thèse de doctorat et régulièrement mis à jour. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « Détail du projet de constitution, à l'échelle internationale, d'un réseau de chercheurs en Astro-Egyptologie » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°7, 2005)

La publication d'articles sur le thème de l'astronomie égyptienne dans des revues d'égyptologie telles que les Cahiers Caribéens d'Egyptologie, i-Medjat, Revista de la Sociedad Uruguaya de Egyptologia, ma participation, en tant qu'astronome, aux colloques d'égyptologie organisés par l'ARCE (American Research Center in Egypt) en 2004 et 2005, la composition mixte de mon jury de thèse de doctorat soutenue en 2008, peuvent être considérées comme autant d'éléments en faveur de la création prochaine d'une équipe internationale d'astronomes et d'égyptologues souhaitant constituer, ensemble, une base de données des vestiges égyptiens présentant une orientation ou un contenu astronomique particulier, souhaitant étudier ensemble leur orientation ou leur contenu, et souhaitant publier conjointement, sur le Web et dans des revues spécialisées, les résultats de leur travail de recherche pluridisciplinaire. Lire la suite ...

point [Prix scientifique] Réception d'un Prix de l'Académie des Sciences, Inscriptions et Belles Lettres de Toulouse

Ce 7 décembre 2008, nous étions 24 « jeunes » diplômés d'un Doctorat à recevoir un Prix de l'Académie des Sciences, Inscriptions et Belles-Lettres de Toulouse. Voici le texte de l'allocution du Président de l'Académie me concernant : « Le prix de l'Académie couronne les travaux de Mademoiselle Karine Gadré sur proposition de M. Roger Bouigue, Directeur honoraire d'Observatoire astronomique et Professeur d'Université. Mademoiselle Gadré a conçu un ouvrage sur « La conception d'un modèle de visibilité d'étoile à l'oeil nu. Application à l'identification des décans égyptiens. » L'auteur de cette thèse utilise nos connaissances actuelles en Astronomie pour "trier" les étoiles utilisées par les Egyptiens et dresser l'ensemble des tables analogues à celles qui figurent sous forme hiéroglyphique, tables constituant de véritables "horloges stellaires". Au plan scientifique, le travail de Mademoiselle Gadré est une véritable base de travail pour une meilleure formation des futurs chercheurs en archéoastronomie, et d'autre part, il favorise le développement d'une collaboration plus étroite entre Egyptologues et Astronomes. »

point [Thèse de Doctorat] « Conception d'un modèle de visibilité d'étoile à l'oeil nu. Application à l'identification des décans égyptiens » (Thèse de doctorat soutenue le 21 mai 2008 au Laboratoire d'Astrophysique de Toulouse)

Sur l'intérieur du couvercle de sarcophages, sur la surface extérieure de clepsydres, au plafond de temples et de tombes datés de l'an 2100 à l'an 50 BC et disséminés tout le long de la Vallée du Nil, entre Alexandrie et Assouan, figurent vingt horloges stellaires et quatre-vingt listes d'étoiles dans l'ordre de leurs levers héliaques, de leurs levers nocturnes ou de leurs culminations. Leur identification à des étoiles visibles à l'oeil nu du catalogue Hipparcos a nécessité la constitution préalable d'une liste complète de ces étoiles ainsi que la traduction de leurs appellations hiéroglyphiques respectives. La comparaison entre les arrangements stellaires caractérisant chacune des cent listes d'étoiles a abouti à leur classification en six types de listes et permis la détermination des conditions spatiales, temporelles et optiques d'observation des étoiles. Ces contraintes ont ensuite été appliquées à un modèle de visibilité d'étoile à l'oeil nu dans le ciel nocturne ou crépusculaire de l'Égypte ancienne qui combine divers paramètres astrométriques et éléments photométriques. La constitution de listes d'étoiles dans l'ordre de leurs levers héliaques, de leurs levers nocturnes ou de leurs culminations, leur comparaison avec les six prototypes de listes dont nous disposons, la prise en compte de divers critères astronomiques, philologiques et pariétaux, ont permis de restreindre au strict minimum le nombre d'étoiles candidates à chacun des quatre-vingt dix décans égyptiens. Ce travail a abouti à la cartographie du ciel de l'Égypte ancienne, à une meilleure définition des heures de nuit égyptienne, à une datation plus précise du règne de plusieurs pharaons, etc. Lire la suite ...

Buste égyptien

Buste égyptien en bois peint exposé au Musée Champollion de Figeac dans le Lot

point [Publication scientifique] « Introduction aux méthodes de l'archéoastronomie. Première partie : Application à l'identification des décans égyptiens » (i-Medjat n°1, 2008)

Cet article, le premier d'une série de deux, constitue le compte-rendu d'un séminaire public donné au Bureau des Longitudes le 6 février 2008 et disponible à l'écoute sur le site Web de la radio Canal Académie. Après une brève introduction à l'archéoastronomie, nous exposons le principe de la démarche archéoastronomique puis l'appliquons à la résolution d'une problématique égyptologique : l'identification des décans égyptiens, qui constitua l'objet de ma thèse de doctorat. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « Astronomical dating proposals of the ancient Egyptian stellar clocks » (Revista de la Sociedad Urugaya de Egiptologia n°26, 2009)

Sur l'intérieur du couvercle de dix-neuf sarcophages découverts dans des nécropoles de la Moyenne et de la Haute Égypte d'une part, au plafond du cénotaphe de Séthi Ier à Abydos en Moyenne Égypte d'autre part, figurent des horloges stellaires qui fonctionnaient sur la base des apparitions successives d'étoiles à l'est du ciel, entre la fin du crépuscule astronomique et le début de l'aube, tout au long de l'année civile égyptienne constituée de 365 jours. L'objectif de cet article est de dater ces horloges stellaires en comparant leurs arrangements stellaires respectifs. Les propositions de datation sont ensuite comparées à celles déduites de l'application de critères archéologiques, topologiques et philologiques. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « L'année civile égyptienne et les horloges stellaires » (Revista de la Sociedad Urugaya de Egiptologia n°25, 2008)

Sur l'intérieur du couvercle de dix-neuf sarcophages de bois datant de la Première Période Intermédiaire et du Moyen Empire ainsi qu'au plafond de l'Osiréion à Abydos figurent des horloges stellaires fonctionnant sur la base de l'année civile égyptienne constituée de 365 jours : chaque dix jours, le lever d'une même étoile indiquait la fin d'une heure toujours plus tôt de la nuit. Parce qu'un quart de jour supplémentaire ne lui était pas régulièrement ajouté, l'année civile égyptienne vagabondait et le contenu des horloges stellaires devait être régulièrement mis à jour. Lire la suite ...

Un corps de déesse

Portion du corps de la déesse Nout que les anciens Egyptiens assimilaient à la Voie Lactée (Plus d'infos ...)

point [Publication scientifique] « Catalogue d'étoiles peuplant le ciel méridional de l'Egypte ancienne » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°11, 2008)

Sur l'intérieur du couvercle de certains sarcophages datant de la Première Période Intermédiaire et du Moyen Empire d'une part, sur la surface extérieure de clepsydres, au plafond de temples et de tombes datant du Nouvel Empire à l'Époque Romaine d'autre part, figurent les appellations hiéroglyphiques de quatre-vingt dix étoiles peuplant le ciel méridional de l'Égypte ancienne. Cet article rassemble, au sein d'un catalogue, la désignation hiéroglyphique, la forme translittérée et, lorsque disponible, la signification de l'appellation hiéroglyphique de chacune de ces étoiles que nous qualifions aujourd'hui de décanales parce qu'elles effectuaient leurs levers héliaques chaque dix jours de l'année civile égyptienne constituée de 365 jours. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « Préalable à l'identification des décans égyptiens : constitution d'une base de données archéologiques » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°19/20, 2015)

La succession des apparitions ou culminations d'étoiles dans le ciel nocturne ou crépusculaire de l'Égypte ancienne marquait les heures de nuit. Ces étoiles dont la période d'invisibilité annuelle avoisinait alors les soixante-dix jours sont aujourd'hui qualifiées de décanales parce qu'elles effectuaient leurs levers héliaques à quelque dix jours d'intervalle. Leurs appellations hiéroglyphiques figurent sur l'intérieur du couvercle de sarcophages, sur la surface extérieure de clepsydres, au plafond de temples et de tombes datant de la Première Période Intermédiaire à l'Époque Romaine. Chacun de ces vestiges fait partie d'une base de données archéologiques dont la réalisation a constitué le préalable à l'identification des quatre-vingt dix étoiles décanales à des étoiles visibles à l'oeil nu. Lire la suite ...

point [Publication scientifique] « Le lever héliaque de Sirius, source de datation historique » (Cahiers Caribéens d'Egyptologie n°6, 2004)

L'étude de textes qui mentionnent le lever héliaque de l'étoile Sirius sous les règnes des pharaons Sésostris ?, Amenhotep I, Toutmosis III, Ptolémée III, Ptolémée IV, ainsi qu'à l'Époque Romaine, permet de déterminer la valeur moyenne de l'acuité visuelle des astronomes égyptiens. S'ensuivent de nouvelles propositions de datation des dates de règne de quelques pharaons ainsi que la possibilité d'identifier les décans égyptiens, ces étoiles invisibles du ciel d'Égypte 70 jours par an. Lire la suite ...

point [Logiciel d'ArchéoAstronomie] « Logiciel de détermination des dates de lever et de coucher héliaques de toute étoile visible à l'oeil nu » (Culture Diff', 2005)

Aux latitudes terrestres intermédiaires (comprises entre -66°33' et +66°33'), les levers et les couchers d'étoiles se succèdent. Certains de ces événements se produisent lors du crépuscule (peu après le coucher du Soleil), d'autres par nuit noire, d'autres encore dans les lueurs de l'aube (peu avant le lever du Soleil). Le jour et l'instant auxquels ces événements surviennent dépendent principalement de la latitude géographique de l'observateur, de son acuité visuelle (sa capacité à distinguer des objets contrastés à une distance donnée), de la magnitude apparente de l'étoile observée, de sa position sur la voûte céleste à l'époque historique considérée, ainsi que des conditions atmosphériques locales : température et taux d'humidité de l'air ambiant C'est à déterminer avec précision les jours et les instants de lever et de coucher héliaques (dans les lueurs de l'aube et du crépuscule) de toute étoile visible à l'oeil nu du catalogue Hipparcos (5043 étoiles au total) depuis l'an 4713 avant notre ère que vous invite ce logiciel conçu lors de ma thèse de doctorat et régulièrement mis à jour. Lire la suite ...

point [Logiciel d'ArchéoAstronomie] « Logiciel de détermination des dates de solstices et équinoxes » (Culture Diff', 2005)

La succession des saisons de l'année, l'alternance des périodes de sécheresse et d'humidité, de chaleur, de tiédeur et de froideur, régulent la vie sur Terre - tant à la surface des continents qu'au fond des océans. Elles résultent de lentes mais inexorables variations de durée et d'intensité de l'ensoleillement quodidien. En d'autres termes, de la trajectoire que notre Soleil semble décrire au-dessus de l'horizon terrestre. Une trajectoire qui chaque jour diffère : plus ou moins étendue et inclinée, suivant l'époque de l'année. Le solstice d'hiver, l'équinoxe de printemps, le solstice d'été et l'équinoxe d'automne, constituent, aux latitudes intermédiaires, les points d'orgue de chacune des saisons de l'année. Leur survenue matérialise des instants clés, auxquels le Soleil occupe des positions particulières : extrêmes ou intermédiaires, deux à deux opposées, sur la voûte céleste centrée sur notre Terre. C'est à déterminer avec précision les instants auxquels surviennent l'équinoxe de printemps, le solstice d'été, l'équinoxe d'automne et le solstice d'hiver depuis l'an 4713 avant notre ère que vous invite ce logiciel conçu lors de ma thèse de doctorat et régulièrement mis à jour. Lire la suite ...

Au-delà

Barque funéraire égyptienne voguant en direction du Soleil (Plus d'infos ...)

point [Article de Presse] « Evolution de l'imagerie céleste égyptienne au cours de la Période Dynastique » (Toutankhamon Magazine n°3, 2002)

Les anciens Egyptiens nous ont légué nombre de vestiges architecturaux, rupestres et scripturaux, dont l'étude scientifique du contenu nous renseigne sur leur connaissance exacte de la Nature environnante - sur leur perception du ciel notamment, des objets le peuplant, des mouvements les animant. (Article prochainement disponible en téléchargement)

point [Publication scientifique] « Le lever du Soleil sur la Terre d'Egypte : une recréation au quotidien » (African Skies / Cieux Africains n°6, 2002)

En Egypte antique, il n'est pas d'événement céleste qui ne revêtait de symbolique particulière. Ainsi le lever du Soleil, son apparition à la surface de l'horizon oriental sous la forme d'un disque rougeoyant, ne dérogeait-il pas à la règle. Aux yeux des anciens Egyptiens, la renaissance quotidienne du dieu Soleil, son émergence des eaux du Noun, cet océan d'énergie informe dont provient toute forme d'existence, s'apparentait à sa toute première manifestation dans le ciel d'Egypte, en ce jour auquel le monde fut créé, en ce premier jour qu'ils nommaient Sep Tepy. Lire la suite ...

point [Article] « Jean-François Champollion : le père de l'égyptologie française » (Editions Culture Diff', 2002)

Résumé : A Jean-François Champollion, l'on attribue souvent l'épithète "père de l'égyptologie française". Ce brillant linguiste fut-il effectivement le redécouvreur de cette Egypte mystique et légendaire aux us et coutumes tombés dans l'oubli depuis qu'en l'an 384 de notre ère, l'empereur Théodose, de confession chrétienne, avait ordonné la fermeture définitive des temples "païens" ? Ne fut-il pas plutôt le prestigieux continuateur d'une tradition bien française, celui qui donna une dimension et une impulsion nouvelles à notre légendaire passion pour l'Egypte, à cette égyptomanie qu'il commua définitivement en égyptologie en ce jour précis de l'an 1822 auquel il s'exclama : "Je tiens l'affaire !" ? Lire la suite ...

point [Ouvrage] « La signification astronomique des pyramides d'Egypte. L'ordre céleste recréé » (Editions La Maison de Vie, ISBN 2 909 816 29 X, 1998)

Résumé : Les égyptologues sont loin d'avoir résolu tous les problèmes que posent les pyramides d'Egypte. L'auteur a cherché à résoudre l'un d'entre eux : ces extraordinaires monuments ont-ils été implantés en fonction de connaissances astronomiques et lesquelles ? Dressant une liste des pyramides connues et offrant leur signification majeure, Karine Gadré, astrophysicienne de formation, nous décrit le ciel des anciens Egyptiens, leurs méthodes d'observation et leur conception des piliers de l'univers, ce qui permet d'aborder la détermination céleste des quatre directions cardinales par les prêtres astronomes de l'ancienne Egypte. On découvre ainsi que la « distribution » des pyramides n'est nullement due au hasard ou à la fantaisie des architectes, mais qu'elle correspond à un ordre céleste recréé sur Terre.